Un article de Sylvie Jouan dans The Conversation (mars 2019). Elle rappelle l’importance des classes multi-âge, dans tous les milieux (pas seulement rural), et plaide pour une réflexion autour de leur fonctionnement, et pour des mélanges d’au moins trois niveaux (contre deux le plus souvent, pour des raisons de lissage d’effectif, et non pédagogique). Le mélange des âges crée en effet une émulation possible et une coopération bénéfique entre élèves. Ces classes sont ainsi présentées comme des « laboratoires d’innovation pédagogique », permettant l’entraide, l’autonomie et la prise en compte « des différences de rythme d’apprentissage ».
L’article est à lire ici, et il est accompagné d’une vidéo de Sylvie Jouan.